
Maupassant
Nom complet : Guy de Maupassant
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Naissance : 1850 à Miromesnil (Seine-Maritime, FR)
Décès : 1893 à Paris (Paris, FR)
133 documents sur Maupassant
133 documents disponibles:
10 livres
Auteur | Titre | Publication | Genre |
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Maupassant | Bel-Ami Bel-Ami |
1885 | roman |
Maupassant | Boude suif Boule de suif |
1880 | |
Maupassant | Contes de becasse Contes de la bécasse |
1882-1883 | |
Maupassant | Contes et nouvelles Contes et nouvelles |
1875-1890 | |
Maupassant | La Maison Tellier | roman | |
Maupassant | Parure La Parure |
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Maupassant | Horla Le Horla |
1887 | |
Maupassant | Mon oncJules Mon oncle Jules |
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Maupassant | Pierre et Jean Pierre et Jean |
1888 | |
Maupassant | Une Vie Une Vie |
1883 |
10 citations de Maupassant
- « L'âme a la couleur du regard. L'âme bleue seule porte en elle du rêve, elle a pris son azur aux flots et à l'espace. »
- « L'homme qui aime normalement sous le soleil, adore frénétiquement sous la lune. »
- « La mort. Que ce mot, si court, est insondable et terrible ! »
- « Le baiser est la plus sûre façon de se taire en disant tout. »
- « Le cul des femmes est monotone comme l'esprit des hommes. »
- « Le suicide ! Mais c'est la force de ceux qui n'en ont plus, c'est l'espoir de ceux qui ne croient plus, c'est le sublime courage des vaincus. »
- « Les vraies femmes de lettres sont des phénomènes. Leur rareté fait leur prix. »
- « Toutes les religions sont stupides avec leur morale puérile et leurs promesses égoïstes, monstrueusement bêtes. La mort, seule est certaine. », Bel-Ami
- « Une action blâmable en soi devient souvent méritoire par la pensée qui l'inspire. », Boule de suif
- « La seule vérité qui ne mente pas est la souffrance. », Une Vie
Vos 171 commentaires sur Maupassant
je m\'appel Neda. mon professeur me demande un commentaire compose sur \'\'nuit de noel \'\' de maupassant. je ne sais beaucoup de chose sur cela, m\'aidez s.v.p
je vous remercie avant
c;est man meil; barobach17@yahoo.com
Les Tuvaches et les Vallin deux familles pauvres et nombreuses ménent une vie stable jusqu'à l'arrivée du couple d'Hubière qui veut adopter le petit des Tuvache.Mais,ces derniers refusent,tandis que les Vallin acceptent leur demande . A cause de leur accord un conflit a eu lieu entre les deux familles . Après quelques années,Jean rend visite à ses parents qui ont été fiers de lui ,mais Charlot qui été deçu par le nouveau Jean .. il rapproche à ses parents de ne l'avoir pas vendu et les quitta.
( Ce résumée est produi par moi même .. de passage j'ai bien voulu vous donnez un tit aide aux étudiant marocains & marocaines , Ellah i3awenkoum )
Mais le probleme c tu recopie tous ce qu elle a ecrit a la fin du romon donc tous le monde va faire comme comme alors rediger svp qlq chose unique c bien pour m aider mais c pas facille aller merci mn msn pour me connecte c tu veux mima_74@hotmail.fr dacord prend ma conseil merci pour votre attention
ghiz de casa
L'aventure de Walter Schnaffs : Walter Schnaffs est un allemand pacifiste, père de famille, gros, bon-vivant, et qui a peur de mourir. Un jour, il fut envoyé avec une poignée d'éclaireurs dans la campagne normande. Là, alors que les éclaireurs marchaient et ne voyaient aucun danger, des francs-tireurs sortirent du bois et tirèrent sur les allemands. Walter se jeta dans un trou dont il ne connaissait pas la profondeur et s'y cacha. Il attendit et réfléchit longuement à toutes les possibilités qui s'offraient à lui. Il décida que la meilleur des solutions était de se faire prisonnier. Il décida donc de sortir de son trou et d'aller, la nuit, au château voisin. Il alla donc au château et se mit à la fenêtre du premier étage. Il fit peur à tous les domestiques qui appelèrent l'armée. Pendant que l'armée venait, Walter mangea le repas de tous les domestiques puis fut fait prisonnier à son grand bonheur. Le colonel qui l'avait surpris entrain de manger et qui n'a eu besoin que de le menacer avec une baïonnette fut décoré bien qu'il n'eut rien fait.
Saint-Antoine: Saint-Antoine est un Normand, un bon-vivant. Il est bien gras, coureur de jupons et, surtout, très rieur. Lors de la guerre contre la Prusse, il reçu nu brave allemand chez lui. Il n'avait pas le droit de le tuer sous peine de voir tout son village brûlé et fusillé. Alors, Saint-Antoine, décida de prendre sa revanche. Il donnait beaucoup à manger et à boire au jeune soldat en lui disant, allez, mon cochon ,mange, mange. Le soldat, ne comprenant pas ce que Saint-Antoine disait, mangeait avec bonne volonté et buvait beaucoup d'eau-de-vie. Saint-Antoine et le soldat étaient devenus les meilleurs amis du monde, ils étaient partout ensemble. A chaque fois qu'il allait chez des gens, il y allait avec son cochon que les gens pouvaient goinfrer. Un jour qu'ils avaient énormément bu, sur la route du retour, Antoine, s'amusait à pousser le soldat sur le côté de sorte qu'il tombe dans fossé. L'Allemand évitait à chaque fois de tomber et disait quelque chose en allemand que Antoine ne comprenait pas mais qui le faisait bien rire. Une fois qu'Antoine poussa trop fort, l'allemand tomba dans le fossé et sorti avec son sabre brandi vers Saint-Antoine qui l'évita et envoya un coup de bâton dans la tempe du soldat, ce dernier tomba. Saint-Antoine, s'affola et mis le corps du soldat dans le fumier. Il alla se coucher réfléchissant à ce qu'il pourrait faire pour ne pas que les Allemands ne remarquent la mort du soldat. Il réfléchit toute la nuit mais n'eut aucune idée. Il s'endormit et fus réveillé par son chien qui aboyait. Il alla voir pourquoi il jappait et vit que l'allemand s'était réveillé et qu'il était sorti du tas de fumier. Saint-Antoine pris alors la fourche et tua le prussien pour de bon. Il creusa un trou et y jeta le soldat. Plus tard, il alla voir les autorités allemandes pour demander où était passé son soldat. Les autorités le cherchèrent désespérément et ne le trouvèrent nulle part. Il ne soupçonnaient pas Saint-Antoine car ils connaissaient les relations amicales entre les deux hommes. Un gendarme du village voisin fut alors arrêté puis tué.
Un fils :Deux vieux amis, l'un Sénateur, l'autre de l'académie française discutent de leurs rencontres amoureuses et des qu'ils ont faits. Ils disent qu'ils ont bien dû rencontrer deux à trois-cents femmes et qu'ils ont dû avoir des enfants avec beaucoup d'entre elles. Le sénateur raconte qu'un jour, il avait dû rester dans un auberge bretonne plusieurs jours car son compagnon de voyage devait se reposer. Il eut donc une relation avec la servante. Il ne la revit plus pendant 30 ans. Puis, un jour, il revint dans l'auberge. Là, il appris que la servante avec qui il avait eu une relation était morte des suites de l'accouchement. Son fils, quant à lui, était un idiot qui, comme sa mère, ne parlait pas un mot de français. C'était un boiteux que l'auberge ne gardait que par charité et qui ne faisait que nourrir les chevaux avec qui il dormait. Pendant plusieurs jours, il essaya de trouver des points communs avec lui et se boiteux idiot. A la messe, il lui donna cent francs. Le soir, le fils revint ivre, assoma un cheval à coups de pioche et dormit par terre. L'aubergiste pria le père de ne plus donner de l'argent à son fils car tout ce qu'il faisait, c'était le dépenser dans les boissons. Le père partit donc au bout de quelques jours et revint tous les ans, de plus en plus torturé par sa conscience. Les deux hommes observaient aussi que tous les voleurs et les bandits qui les volaient n'étaient autre que leurs propres fils qui avaient mal tourné à cause de leur manque d'éducation.
Le testament : Le benjamin de M. de Courcil raconte sa vie. Son père était un gros homme, bourru et violent qui épousa une femme délicate, timide et riche. Il l'épousa pour sa fortune. M. de Courcil eut deux fils avec cette femme. Il avait beaucoup de maîtresses avec lesquelles il eut sûrement d'autres enfants. Les deux aînés de Mme de Courcil traitaient leur mère comme une bonne, ne la respectaient pas et ne sûrement pas. Mme de Courcil rencontra un homme, intelligent, fin et gentil qui la comprenait : M. de Bourneval avec qui elle eut un enfant : René (le narrateur) qui l'aima et qu'elle aimait. A sa mort, MM. de Courcil et M. de Bourneval allèrent chez le notaire qui ouvrit le testament. Là, Mme de Courcil raconta à quel point elle avait souffert à cause de son mari et de ses deux fils. Elle léguait donc toute sa fortune à M. de Bourneval qui léguerait tout à leur fils René. M.de Courcil, indigné, provoqua M. de Bourneval en duel et se fit tuer. M. de Bourneval mourut et René hérita de toute la fortune de sa mère dont il légua la moitié à ses frères et pris le nom de M. de Bourneval
Farce normande : Jean Patu, un riche normand passionné de chasse et sa future femme Rosalie Roussel une riche et belle Normande se marient. Tous les gens du village sont conviés à leurs noces. En tête de cortège on trouve les riches hommes avec leur chapeau en soie, puis viennent les femmes avec leur châle en soie rouge écarlate, et enfin viennent les pauvres et les enfants qui bourdonnent en fin de cortège. Arrivés à leur nouvelle ferme, les mariés s'installent, tous les convives s'installent à table. Ils sont une centaine à manger de deux heures à huit heures, à boire, à raconter des plaisanteries grotesques. A la fin du repas, un groupe de quatre hommes a décidé de faire une farce à Jean. Un d'eux dit à Jean que des braconniers font faire une chasse cette nuit et la pleine lune les éclairera. Jean Patu est bien contrarié de ne pas pouvoir participer à la chasse car il ne peut pas laisser sa femme seule le soir de son mariage. Les mariés vont donc se coucher. Ils se déshabillent et son près à passer à l'acte quand, soudainement, un coup de fusil éclate. Jean Patu regarde par la fenêtre et ne voit personne. Les mariés continuent lorsque qu'un deuxième coup de fusil éclate. Jean Patu, fou de rage se rhabille, empoigne son fusil et s'en va dans la forêt. Rosalie attend une heure, puis deux puis, le lendemain, elle demande à tous les paysans d'aller chercher son mari dans la forêt. Son mari est retrouvé ficelé des pieds à la tête, son fusil de chasse tordu, sa culotte à l'envers et avec une pancarte qui va à la chasse, perd sa place. Maupassant termine la nouvelle avec cette phrase : Et voilà comment on s'amuse, les jours de noce, au pays Normand.
Menuet : Jean Bridel, qui raconte que lorsqu'il était jeune, il aimait se lever tôt et aller flâner seul dans les pépinières des jardins du Luxembourg. Là-bas, il ne rencontrait presque personne sauf un vieillard qui n'avait que la peau sur les os. Ce vieillard intriguait Jean. Le conteur décida alors de regarder en cachette ce que faisait le vieillard. Il dansait. Jean alla parler au vieillard et quelques jour plus tard, il devint son ami. Le vieillard était en fait un des meilleurs danseurs du roi Louis XV. Sa femme aussi était danseuse. Jean demanda ce qu'était que le menuet, les vieux lui répondirent que c'était la danse des reines et ils exécutèrent quelques figures grotesques tant ils avaient perdu l'habitude et la souplesse de leur jeune âge. Jean parti en province pendant deux ans. Quand il revint à Paris, il apprit qu'on avait démoli les pépinières et Jean n'eut plus jamais de nouvelles des danseurs.
Ce petit texte contient l`histoire d`une personne qui est accusé d`un vol et qui enfin meurt à cause des moqueries sur son histoire. Au début du texte c`est le jour du marché à Gaderville et tous les paysans y vont. L`auteur décrit les personnages et la place du marché. Après ca Maupassant fait un portrait de Maître Hauchecorne qui trouve sur la place du marché une ficelle et la ramasse. Ensuite, M. Hauchecorne apercoit M. Malandain qui l`a regardé. A cause de cela, M.H. cache brusquement sa blouse. Puis, il va au marché et se perd dans la foule. A midi presque tous les paysans se retrouvent chez Jourdani, une auberge normande, pour dîner. Dans la grande salle, il y a une atmosphère de gaieté judqu`à l`arrivée du crieur publie qui annonce la perte d`un portefeuille. Quelques minutes après un origadier arrive et il veut que M.H. lui accompagne à la mairie. M.Malandain a vu qu`il a trouvé quelque chose et le maire pense que ca a été le portefeuille. M.H. essaie de convaincre le maire, mais il échoue.. Après il raconte son histoire dans les rues, personne ne lui croit. Le lendemain un valet trouve le portefeuille et il redonne l`argent. C`est le triomphe pour M.H.. Mais ce triomphe est de court durée. Il commence une deuxième fois à narrer l`histoire, mais il n`y a que les plaisanteries des paysans. Mardi de la semaine suivante il retourne à Goderville pour raconter encore une fois son histoire. Mais il y a aussi seulement les moqueries chez l`auberge. Il quitte l`auberge sans terminer son repas. Sa déchéance physique commence. Il devient malade et ne quitte pas sa ferme. Il perd peu à peu sa santé et quelque mois plus tard il meurt en attestant son innocence.
ça va les etudes??? j'ai rien à faire je suis dégoutante
aidez moi
emchiw lel boitet w 3ichou hyetkom fok 3likom bla guy de maupassant bla wji3et ras!!!!!!!!!!
qui a les cadres temporels (lieux, temps) et les personnages aussi la synthése.. envoi moi svp je vous attend sur dadddou1@hotmail.com
nihalnouna@hotmail.com bisou
et merci
s'il vous plait aider moi je veux reussir cet anneé et avec mension
merci,votre noble fane
Je suis en 3eme et étudie les contes de la bécasse. Je souhaiterais savoir si l'un ou l'une d'entre vous pourrait m'adresser une synthèse des différentes nouvelles. Merci par avance.
Je suppose que c'est parce que Maupassant critique la société et comme vous l'avez écrit, parle des conditions des paysans à cette époque...enfin c'est quand même un vrai calvaire d'étudier cet auteur^^" Je dois faire une sorte de biographie sur lui, et j'aimerais savoir si il a passé toute son enfance et son adolescence au chateua de Miromesnil s'il vous plait, merci d'avance si vous le rajouter sur le site avant que je ne rende ce devoir ;)
Je voulais dire que les critiques injurieuses à l'égard de Guy de Maupassant sont complètement débiles et que les auteurs de ces insultes n'ont rien à faire sur ce site. Ce site est fait pour les gens qui apprécient et qui font tout ce qu'ils peuvent pour réussir dans leurs études.
Merci de vôtre compréhention
Il y a beaucoup de gens qui souhaiteraient avoir le résumé de "aux champs" de Guy de Maupassant, dont moi. Pouriez vous, s'il vous plait, me faire un petit résumé de 5/6 lignes?
merci d'avence
sous mes résper je vous demand de prendre en compte ma demande svp.
Merci et bsx!
- Aurélie -
Si les auteurs de cette époque étaient encore la,que raconteraient ils ? a ton avi,seraient ils encore plu pessimistes ou verraient ils de quoi esperer ?
car quan j lai lu jai ri1 compri lol
aidez moi
Juste magnifique !<3
ET MERCI:imatou8@hotmail.fr
vous remerciant,
F Boyer